La tenue des prochaines élections locales a fait l’objet d’échanges, hier, dans le cadre du dialogue national. La majorité présidentielle a défendu l’impossibilité de tenir les élections d’ici décembre, comme l’ont voulu les représentants de l’opposition.
Cheikh Sarr, plénipotentiaire de la majorité, a justifié le report par les délais incompressibles du processus d’audit du fichier et révision des listes qui vont aller jusqu’à 11 mois.