Développement des arts marionnettes au Sénégal : Patricia Gomis et ses partenaires lance une filière professionnelle…

0

L’Association Djarama (Séné­gal), l’Institut international de la marionnette de Charleville-Mézières et l’Ecole national des arts du Sénégal ont lancé un projet visant à développer les arts marionnettes au Sénégal, sous l’initiative de Patricia Gomis, comédienne et directrice artistique du Pôle culturel de Djaram’art. Les arts de la marionnette sont aujourd’hui considérés comme une discipline du spectacle vivant à part entière. Ils ont la capacité à être complets en regroupant à eux seuls les arts plastiques, le mouvement, la musique et même le cirque ou les arts numériques.

«Suite à une réflexion commune sur les arts de la marionnette au Sénégal, nous avons fait le constat qu’il y a une véritable carence de propositions artistiques dans le domaine de la marionnette dans les lieux culturels sénégalais et un manque d’artistes marionnettistes dans le paysage culturel», indique un document de présentation de la nouvelle offre de formation. Pour changer la donne et participer à mieux faire connaître l’art de la marionnette au Sénégal, Patricia Gomis de Djaram’art, centre d’art pour la jeunesse basé dans le commune de Popenguine – Ndayane, a initié une table en ronde à laquelle des sommités ont participé en intervenant de la France, de la Côte d’Ivoire et du Mali. L’évènement a été accueilli par la Maison de la culture Douta Seck hier.  

Pour arriver à atteindre son objectif, Patricia Gomis mise sur la formation. «Cette table ronde est le lancement de la création d’une filière professionnelle sur les arts de la marionnette au Sénégal. C’est un projet, un partenariat avec l’Ecole supérieur des arts de la marionnette en France et le centre Djaram’art. La marionnette n’est pas connue du tout et c’est un art qui n’est pas du tout développé. Donc le projet vient à point nommé pour permettre aux artistes sénégalais, les élèves sortant de l’Ecole des arts et les artistes plasticiens qui le désirent de pouvoir s’enrichir à travers la marionnette», a fait savoir Patricia Gomis.

L’artiste de souligner que «cette table ronde nous permet de découvrir la marionnette sous toutes ses formes et de permettre aux jeunes qui vont suivre les différentes formations, qui est dans ce projet, de voir ce qui se passe dans le monde de la marionnette». Dans un contexte marqué par le Covid-19, le projet de formation va débuter en 2021, indique Patricia Gomis dont le vœu le plus ardent est de voir les jeunes Sénégalais «s’approprier ce médium et de se lancer dans la création de marionnettes, puisée dans la pure tradition sénégalaise».

LeQuotidien

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

https://docomomobrasil.com/rtp-slot/https://docomomobrasil.com/slot-server-luar/https://revista.sthembrasil.com/slot-deposit-dana/https://journals.woundscanada.ca/slot-deposit-pulsa/http://docomomobrasil.com/slot-demo/https://ncst.mw/slot-demo-pragmatic/http://ojs3.bkstm.org/js/slot-demo/http://ojs3.bkstm.org/js/slot-deposit-dana/http://mv-conference.phonepulse.ie/https://jurnal.warnasulsel.com/pages/slot-luar-negeri/https://ncst.mw/slot-bonus/https://ncst.mw/togel-online/https://kustwudil.edu.ng/wp-content/uploads/slot-demo/https://v-rouge.com/slot-server-luar/https://www.ncst.mw/wp-content/plugins/bar/https://biologi.ipb.ac.id/~ojsbio/pages/slot-deposit-dana/https://sparkling.kaltimprov.go.id/frontend/slot-deposit-pulsa/https://sidapro.fsb.ung.ac.id/idn-slot/https://sparkling.kaltimprov.go.id/frontend/mpo-slot/https://docomomobrasil.com/slot-deposit-pulsa/